
Pionnier de la pénoplastie esthétique, il est l’auteur de l’ Atlas de Chirurgie Esthétique du sexe de l’homme. Cet Atlas, destiné aux professionnels, vendu à plusieurs centaines d’exemplaires, s’est révélé formateur pour de nombreux praticiens.
Pionnier de la pénoplastie esthétique, il est l’auteur de l’ Atlas de Chirurgie Esthétique du sexe de l’homme. Cet Atlas, destiné aux professionnels, vendu à plusieurs centaines d’exemplaires, s’est révélé formateur pour de nombreux praticiens.
Q : en quoi cela consiste la pénoplastie d’allongement (ou d’avancement) esthétique du pénis ?
R: en une libération du pénis visible –pénis pendulum- de ses attaches pubiennes. Je lui préfère la dénomination de plastie d’avancement.
Q : cela prête-t-il à quelques conséquences?
R : nullement si le décollement sous pubien est effectué dans les règles de la sécurité et de la parfaite connaissance de son environnement anatomo-chirurgical.
Q : quel en serait le gain ?
R : 3 à 4cm en moyenne ; cependant toute sollicitation excessive doit être écartée ! le résultat dépend des conditions anatomiques.
Q : peut-on prévoir quel en serait ce gain ?
R : il est en effet certaines morphologies pour qui le gain serait prédictible et intéressant ; dans d’autres cas il ne pourrait être prédit, l’importance et la qualité des attaches (ligament suspenseur entre autre) et de leur tonicité sont uniquement constatables en per-opératoire
Q : ce gain existe-t-il également en érection?
R : Le segment du pénis libéré va nécessairement se déployer lors de l’érection; sous réserve de certaines précautions techniques l’optimisation en érection est obtenable.
Q : quels en sont les risques ?
R : bien entendu il existe quelque appréhension, cependant devant les centaines de cas nous n’avons enregistré aucun incident fâcheux. La parfaite connaissance de l’anatomie chirurgicale des lieux est ici une condition majeure !
Q : en quoi cela consiste ?
R : du tissu adipeux est récolté au niveau d’une zone donneuse pour être ensuite déposé régulièrement, par petits bolus, sous le fourreau pénien.
Q : le tissu graisseux est-il bien toléré ?
R : il s’agit d’un autotransplant, donc ni allergie, ni rejet.
Q : quel en serait le gain ?
R : à supposer l’existence d’un prélèvement de graisse en quantité suffisante, l’épaississement sera fort satisfaisant ; en raison d’une certaine résorption post opératoire la graisse est déposée selon un certain excès. 1 à 2cm en diamètre de surépaississement sont ainsi assez habituellement acquis en post opératoire.
Q : comment prévenir une trop forte résorption ?
R : par le choix du site du prélèvement, volontiers la racine des cuisses, pour la qualité des cellules adipeuses, privilégiant les cellules souches; Dans 10% des cas une reprise du grossissement nous est réclamé.
Q : peut-on pratiquer en même temps une liposuccion abdominale ?
R : certes, mais les oedèmes du fait de cette liposuccion risquent de venir distendre et fragiliser la cicatrice de la pénoplastie.
Q : quelles en sont les cicatrices ?
R : en un mot elles sont négligeables dans le cadre d’un seul épaississement.
Q : est-ce douloureux ?
R : c’est possible si la graisse est rare, plutôt aux sites de prélèvements, mais des antalgiques seront prescrits en post opératoire et pour quelques jours.
Q : je n’ai pas de graisse ou bien peu.
R : bien souvent j’arrive à récolter une quantité suffisante de tissu graisseux. Autrement, peut se discuter le recours aux acides hyaluroniques, dont la durée de vie ne dépasse pas l’année ; il s’agit de produits bien tolérés.
Q : pénoplastie et médecine esthétique?
R : les gestes sont certes des plus simples, pas de chirurgie, pas d’anesthésie…mais en contre partie résultat des plus modestes, fugaces. Les quelques unités d’acide hyaluronique ne sauraient remplir le rôle des 40 à 50cc d’un bon implant de tissu graisseux! Je propose cette solution aux plus pusillanimes. Le macrolane est onéreux et est ici inopérent : la peau pénienne étant trop mince on ne saurait obtenir un résultat harmonieux.
Q : est-elle risquée ?
R : nullement, étant compétent en plastique et en urologie, je la pratique depuis 20 ans !
Q : pourtant certains praticiens la récusent ou ne la proposent pas surtout s’il s’agit de la pénoplastie d’allongement.
R : la pénoplastie d’allongement suppose une certaine compétence chirurgicale. La région anatomique génitale, suppose en effet une certaine formation appartenant aux urologues. Elle ne se réduit point à l’effondrement de ce fameux ligament suspenseur, mais oblige à une connaissance profonde de l’anatomie chirurgicale de la région, déceler une éventuelle hernie de l’aine à traiter dans le même temps opératoire, et pouvoir répondre à toute complication chirurgicale loco régionale à prévenir, ou susceptible de survenir à ce niveau, outre des connaissances de la physiologie précisément sexuelle
Q : pour quel type de cicatrice optez-vous ?
R : j’opte pour la cicatrice qui ne contrarie pas l’avancement pénien recherché et sans que cela marque le patient au fer rouge d’un W, d’un M, ou d’un Z ; la plastie VY n’est peut-être pas sans quelques petits reproches mais répond généreusement à l’avancement souhaité ; seul le trait vertical est visible et va se perdre dans les poils cependant que les deux branches de l’Y vont venir harmonieusement s’effacer dans la nouvelle racine visible de la verge.
Q : la sommation du grossissement et de l’avancement potentialise-t-elle cette intervention ?
R : c’est certain ! l’épaississement et le poids de la graisse complétés par l’opération de l’avancement sont absolument contributifs au meilleur effet.
A moins que techniquement, on ne peut pas tout savoir, tout faire…. primuum non nocere.
Q : quelle est l’expérience actuelle ?
R : entre les mains de quelques praticiens.
Q : risques de malfaçon ?
R : si l’anesthésie est insuffisante rendant les gestes précipités, si le praticien est peu familiarisé à l’anatomie pénienne, si l’instrumentation est inadéquate.
Q : des complications ?
R : en cas de malfaçons ; telles que phimosis en cas de fuite du produit vers le prépuce ou vers les bourses ; hématome, en cas d’effraction vasculaire.
Connaissances et compétence urogénitales souhaitables.
Q : quel gain espérer?
R: +4cm en circonférence, et gain substantiel en longueur, par effet « attelle ».
Q : l’intervention est-elle douloureuse?
R : non, grace à l’application d’un bloc pénien (geste urologique spécialisé)
Q: qu’en est-il de l’érection?
R: elle ne sera nullement gênée.
Q: qu’en est-il de la sensibilité?
R: statistiquement sensibilité érectogène plus intense, et sexualité accentuée.
Q : mon sexe est de taille réduite et de surcroît déformé (coudure, courbure, torsion, lapeyronie…) ; quelle solution ?
R : étant donc plasticien et urologue, ce n’est nullement incompatible d’envisager une correction de la pathologie outre la pénoplastie esthétique, sous réserve du siège de la déformation du pénis.
Q : mon pénis est retenu par un vaste excédent de peau aux bourses.
R : il s’agit probablement d’une palmure, de correction a priori indépendante.
Q : que faire en cas de pénis « enfoui » chez un homme en surpoids ou ayant maigri ?
R : situation loin d’être exceptionnelle, suppose un traitement et de la paroi abdominale et de la restauration de l’aspect pénien ! le retentissement psychologique et l’handicap sont ici maximales ; une abdominopénoplastie adaptée est ici d’un intérêt et d’un bienfait majeurs à tout égard (lire l’article « lifting génital » dans notre site)!
Consultation 80€ ; prévoir 45 à 60 mn.
Consultations suivantes pré et post opératoires gratuites.
De 4000 à 5000€.
Retouches éventuelles, seulement frais de bloc et d’anesthésiste.
16, rue du Docteur Finlay
75015 Paris
Tél : 01 40 59 61 61
penoplasty.com
chirurgie-intime-paris.com
impuissance-masculine.org
liposuccion-lipofilling-liposculpture.com